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Caroline Malbec | 05.02.2010 - 20:03
Formidable, un pur moment de plaisir, merci.
Goos | 06.01.2010 - 17:09
mon grand père a travaille dans cette usine la meruvienne j ai beaucoup de souvenir il habitait 27 rue chanzy aux fours a chaux a meru
Marie | 05.01.2010 - 23:31
J'ai beaucoup aimé cette exposition, je la recommande. J'aurais aimé en voir plus, je n'ai plus qu'à retourner à Amsterdam. :)
Alain Bollet | 05.01.2010 - 23:29
J'ai toujours aimé les peintres hollandais sur lesquels j'ai déjà une bonne documentation et je ne manquerai pas d'aller à la pinacothèque dès que nous nous rendrons à Paris.
Edith de Pontbriand | 05.01.2010 - 23:26
Génial, merci Claire pour cette idée d'exposition ! Fan de Rembrandt, Vermeer et des peintres hollandais, j'irai avec plaisir découvrir cette expo ! Merci pour les infos en avant-première !
Vonnik | 05.01.2010 - 23:19
Merci de votre réponse ; j'ai fait la 1ère étape mardi dernier, c'est très intéressant. Je vais poursuivre. Je dois vous dire qu'en 2006, j'ai fait le trajet entier jusqu'à Compostelle en partant du Puy. Ultreia !
Sophie Martineaud | 05.01.2010 - 23:18
Désolée, le décompte kilométrique de cet itinéraire n'a pas été établi, du fait que cette balade se fait en ville. En gros, c'est une traversée de Paris dans le sens nord-sud, avec quelques écarts en cours de route. Cela peut se faire dans la journée, ou sur plusieurs étapes si l'on fait un stop dans les différents musées cités. Cordialement
Vonnik | 05.01.2010 - 23:15
Je voudrais savoir combien de kms il y a "sur les pas des pèlerins de Compostelle" Marcher à Paris de Sophie Martineaud. Je ne le trouve nulle part. Merci de me le dire.... J'ai déjà fait le chemin jusqu'à Santiago
Cesco | 05.01.2010 - 23:12
A propos de la route vers Compostelle qui emprunte le col du Somport, cet itinéraire fut longtemps appelé « Camino italiano » car de nombreux pèlerins en provenance d’Italie la parcouraient (via grosso modo, ce que l’on appelle aujourd’hui la « Via Tolosana »). En fait, les pèlerins se croisaient sur cette route : pas seulement à cause du fait que chacun devait bien rentrer chez soi après s’être rendu à Saint-Jacques, mais aussi parce que Rome drainait un très grand nombre de pèlerins, surtout à partir de l’instauration du premier jubilé à Rome par Boniface VIII en 1300. Et en particulier des pèlerins de la péninsule ibérique. Se superposant au faisceau convergent de routes vers Compostelle, un autre faisceau de routes conduisait à Rome, comme on peut le voir sur cette carte dressée d’après les témoignages de pèlerins du Moyen Âge : http://www.villemagne.net/site_fr/r... Parmi ces chemins, la Via Francigena ou « voie des Français », qui n’est pas une route unique, mais un ensemble de parcours pour les pèlerins vers Rome (roumieux) venant de France et du sud de l’Allemagne actuelle. Un de ces multiples parcours connaît depuis plusieurs années une popularité grandissante : celui que consigna l’évêque anglais Sigéric durant son pèlerinage qui le mena de Canterbury à Rome en 990 : http://www.villemagne.net/site_fr/r...
Sarah | 04.01.2010 - 19:57
Merci bien les amis !
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